En 2001, poussé par besoin irrépressible de chanter, Azenzar reprend sa guitare.
Moderniste mais pas à tout prix, ouvert à toutes les formes de musiques, s’inspirant des réalités politiques, sociales et culturelles algériennes, il revient à la musique avec un objectif et un engagement : sortir un album et participer, un tant soit peu, à la revalorisation de la chanson kabyle, grâce à des mélodies que l’on retient facilement et des textes finement ciselés de Muhand U Yehia ainsi que du poète et écrivain Moh Cherbi, exprimant la misère, l’oppression, la question identitaire et l’espoir.
CSB Productions